En ce dernier jour de l’année 2016, dans de nombreux domaines sociaux, c’est l’heure des bilans. Les médias font le résumé des événements marquants, trop souvent les tristes moments: les catastrophes météorologiques, les décès de personnalités et les conflits partout sur la planète. Puis plus positivement, les découvertes et les avancées scientifiques.
Pour ma part, le 31 décembre, j’aime revoir l’ensemble de l’année à la lumière de la foi et remercier Dieu pour les grâces reçues. Celles-ci se sont manifestées à travers:
- les nouvelles personnes rencontrées qui ont coloré mon paysage et contribué à ma joie;
- les célébrations et les moments d’intériorité qui m’ont ressourcée;
- les inspirations qui ont orientés mes choix de vie;
- les clins Dieu qui me rappellent que je ne marche pas seule sur ma route.
Ce type de relecture suscite deux attitudes que nous retrouvons dans l’Évangile de ce Jour de l’An. Comme Marie, méditer tous ces événements dans son cœur et aussi, comme les bergers, glorifier et louer Dieu (Lc 2,16-21), en constatant la fidélité de son amour au quotidien.
L’émerveillement nous lance vers la nouvelle année dans la confiance et la joie! Et au moment de ce passage à 2017, prenons une résolution, celle d’être davantage disposés à accueillir Sa grâce dans notre vie.
Aussi, faisons le souhait, pour l’humanité, que la prochaine année soit bénie! Comme tant de gens, espérons un retour de la paix là où règnent tant de conflits. Et un espoir surgit lorsque à la découverte de texte comme celui publié par le site Aleteia le 29 décembre. En cette octave de Noël 2016, la communauté juive célèbre la fête de Hanoukka. Au delà des différences entre chrétiens et juifs, quelle belle occasion pour créer des rapprochements et de l’unité. C’est ce qu’un rabbin et un évêque tâchent de vivre. En cliquant sur le prochain lien, il est possible de regarder deux vidéos très inspirants: Un rabbin et un évêque chantent pour Noël et Hanoukka.
Oui, que de nombreuses initiatives soient entreprises pour créer des ponts au lieu des murs entre les nations et entre les religions.
Enfin, je reprends les vœux que Pier Giorgio formulait le 28 décembre 1924: « Dieu vous donne la paix dont la possession est certainement le don meilleur de cette terre. » (1)
- Pier Giorgio FRASSATI, Lettres